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Des équipiers témoignent : vivre les rencontres mensuelles, méditer chaque jour un mystère du Rosaire en union de prière avec les autres membres de son équipe, ça fait un bien fou !

« Parfois, un mot de l’Evangile me touche beaucoup »

« J’ai été baptisée à Pâques 2021. Mon mari m’avait demandé en mariage dans la basilique de Vézelay et nous voulions nous marier à l’église. Il a suivi avec moi la formation du catéchuménat. Dans notre paroisse, un couple nous a proposé de rejoindre une Equipe du Rosaire qu’il animait. Elle comporte huit membres, dont une jeune femme de 25 ans, une religieuse, deux septuagénaires… Une fois par mois, nous nous réunissons vers 17 heures. Je suis particulièrement touchée par les intentions de prière qu’on présente à la fin. Je n’ai pas encore osé exprimer les miennes, l’émotion est trop forte. La dernière fois, on évoquait les personnes malades psychiquement, je pensais à quelqu’un de ma famille. Au cours de la célébration des liens se tissent. Avec mon mari, nous n’allions pas trop à la messe le dimanche pendant la crise sanitaire, mais nous n’avons raté aucune réunion de notre Equipe. En ce qui concerne la méditation quotidienne des mystères du rosaire, je suis de plus en plus régulière. Elle m’aide à me poser. Parfois, un mot de l’Evangile me touche beaucoup. Il se produit en moi comme une ouverture et cela me fait du bien. Par exemple, un jour, en lisant le mot “livré”, je me suis sentie plus légère ensuite, j’avais plus confiance en moi. Je ne peux l’expliquer. » Marie Drussant, 46 ans, équipe de Sully-sur-Loire (45)

« Pendant le Notre Père, je me suis sentie appelée »

« En 2018, j’ai accompagné ma deuxième fille à sa retraite de première communion. Pendant le Notre Père, je me suis sentie appelée. Je suis alors allée trouver le prêtre de notre paroisse, qui m’a proposé de participer à une Equipe du Rosaire. Là, j’ai découvert la prière, et appris à m’arrêter, contempler… La méditation quotidienne, je la fais au moment propice dans mes journées bien remplies. Au départ, je sentais parfois comme un baume qui m’apaisait. Cette méditation m’a réappris à connaître Jésus car j’avais tout oublié. On médite régulièrement sur les mêmes mystères mais, à chaque fois, j’ai des sensations différentes. Le sentiment de communion avec le Christ que j’éprouve, je le retrouve aussi en communauté lors des réunions. On découvre plein de choses en lisant le feuillet ensemble. Ce n’est jamais fini. Marie nous emmène en douceur vers Jésus : Marie est indissociable de Jésus. » Stéphanie Dessaint, 46 ans, équipe de Sully-sur-Loire (45)